3 habitudes qui changent la donne quand on a 17 ans (ou que vous auriez aimé avoir à cet âge)

Tu as 17 ans et tu galères à imaginer ton avenir ? C’est normal. Moi aussi j’étais dans cette situation.

Si j’avais dû compter sur l’école pour trouver ma vocation, je serais moi aussi complètement perdue aujourd’hui.

Heureusement, il existe une autre façon pour te connaître et développer ton potentiel, bien meilleure que les conseillers d’orientation de l’Éducation nationale.

L’école nous apprend à écrire et à compter (plus ou moins), mais elle ne nous donne pas les talents les plus utiles pour accomplir nos projets et exprimer notre créativité.

Tu as remarqué qu’Elon Musk ou Donald Trump parlent rarement de leur parcours scolaire dans leurs interviews ? Par contre, ils évoquent souvent leurs habitudes quotidiennes. Ce n’est pas un hasard.

Car pour réussir dans la vie, être capable de travailler 8 heures d’affilée sur une seule tâche sans interruption ou de convaincre un auditoire, ça te sera plus utile que d’avoir la meilleure note à un examen ou un concours.

Pour apprendre à faire ça, il faut développer des habitudes et des compétences le plus tôt possible : si tu commences à 17 ans, tu auras une longueur d’avance sur les autres toute ta vie et tu gagneras un temps monstrueux. Pas de temps à perdre !

J’ai donc décidé de te donner les 3 meilleures habitudes à prendre le plus tôt possible pour développer les qualités vitales qui te suivront toute ta vie.

Appliqués dès maintenant, ces conseils te donneront les aptitudes rares (et donc précieuses) pour te distinguer dans ta vie professionnelle et personnelle, jour après jour.

1. Initie-toi à un SPORT DE COMBAT, pour affûter ta DISCIPLINE et pour T’ENDURCIR

Comme je l’ai expliqué dans ma vidéo sur la crise de la virilité, beaucoup de jeunes garçons vivent dans un monde sans père (et donc sans repère).

Ils grandissent sans modèle masculin pour leur apprendre à se comporter comme des hommes. 

Boxe anglaise, muay-thai, MMA, lutte gréco-romaine… La pratique assidue d’un art martial, c’est justement le meilleur moyen d’apprendre la discipline — car la clé du succès, c’est un entraînement régulier et sérieux, sous l’œil sévère d’un coach.

Un bon coach, c’est une figure paternelle idéale qui va te pousser dans tes derniers retranchements à chaque entraînement et qui va te forcer à puiser dans tes dernières réserves d’énergie pour sortir une pompe supplémentaire ou pour tenir jusqu’à la fin du round, au moment où sonne la cloche.

Tout ça, je l’ai appris grâce à Romain Carrière, ex-combattant de haut niveau et formateur agréé en self-défense.

(J’ai déjà parlé de Romain sur Telegram, alors n’hésitez pas à aller voir son Instagram !)


Les arts martiaux ont un autre avantage : ils te mettent face à un adversaire bien réel et bien décidé à gagner, comme toi.

Quand on perd un sparring ou un combat, il n’y a pas d’excuses.

Si tu perds, c’est que ton adversaire est meilleur que toi. Tout simplement. Il est capable de donner et d’encaisser plus de coups que toi. À toi de t’adapter.

À force de pratiquer et d’encaisser, on s’endurcit pour gagner : « Ce qui ne me tue pas me rend plus fort. »

Après seulement 1 an  d’entraînement régulier, l’effort physique et la pression psychologique que tu rencontreras dans ta vie seront beaucoup plus faciles à supporter pour toi que pour ceux qui passaient leur journée à manger des chips sur leur canapé.

2. Maîtrise ton usage des ÉCRANS pour améliorer ta PRODUCTIVITÉ et ta CONCENTRATION

« S’il y avait eu Twitter, peut-être que Bach n’aurait pas composé toute son œuvre. »

Quand Olivier Babeau a dit ça (j’ai partagé l’extrait sur mon canal Telegram), j’ai eu un double vertige.

D’une, parce que ça veut dire que notre pays est probablement déjà passé à côté de centaines de génies depuis l’invention de Facebook il y a presque 20 ans. 

Ensuite, parce que ça me fait peur de gâcher mon potentiel.

Pour devenir la meilleure version de soi-même, il faut absolument contrôler le temps qu’on gâche par jour sur son écran à consommer du divertissement inutile.

Il est normal de se faire plaisir et de faire un break pour se reposer : mais entre les séries, les jeux vidéos ou les réseaux sociaux, ce sont des milliers d’heures de ta vie qui partent en fumée chaque année, et que tu ne récupéreras jamais.

Des heures de distraction sans aucune récompense qui pourraient au contraire te servir à apprendre à jouer du piano, à faire du sport, à lire, à travailler… bref, à t’améliorer de 1000 façons différentes.

En plus de ça, l’utilisation excessive des réseaux sociaux réduit ta capacité d’attention et de concentration, alors que ce sont des outils critiques pour aller loin dans n’importe quel domaine professionnel ou personnel.


Coupe tes notifications. Mets Instagram à ton service, et pas l’inverse !

Comment limiter l’impact des distractions dans sa vie ?

La première étape, c’est d’activer l’option qui affiche le temps que tu passes sur ton téléphone chaque jour.
La deuxième étape, c’est de se fixer une limite.
Et la troisième, c’est de la respecter.

Il y a 6 mois, j’étais à 6 heures par jour (!). Aujourd’hui, je suis à 1 heure seulement.

Et ça me laisse d’autant plus de temps pour apprendre à faire le montage de mes vidéos et pour faire du sport, ce qui est 1 000 fois plus utile.

3. Apprends à parler en PUBLIC pour cultiver ton CHARISME et ta PERSUASION

Avoir de meilleures idées que tout le monde, c’est très bien. Être capable de les défendre, c’est mieux.

Que ce soit en cours, en famille, au travail ou avec des amis, il y a toujours un individu socialement dominant dans une pièce.

Mais c’est qui, au juste, l’individu dominant ? On le reconnaît facilement.

Quand il parle, on l’écoute.
Quand il donne son opinion, on lui accorde de l’attention.
Quand les choses vont mal, on se tourne instinctivement vers lui.

Ça peut être le professeur ou le supérieur hiérarchique, mais pas forcément. Par contre, c’est quasiment toujours celui qui s’exprime d’une façon convaincante.

Vous êtes le plus intelligent ou le plus calé sur un sujet ? Si vous vous mettez à bafouiller et à trembler en regardant vos chaussures dès qu’on vous donne la parole, vous resterez bloqué en bas de l’échelle.

L’aisance à l’oral est un muscle qui se travaille.

Quand je suis devenue militante, j’étais incapable de m’exprimer en public : pendant les ateliers d’entraînement média, je devenais toute rouge, je regardais partout sauf dans les yeux et je perdais mes mots.

C’est à force de pratiquer, semaine après semaine, que j’ai pu atteindre le niveau suffisant pour, plus tard, défendre mes idées sur le plateau de Cyril Hanouna, face aux chroniqueurs, aux caméras et au public.

Ce qui ne veut pas dire que je n’ai plus le trac, au contraire ! Mais j’ai appris à le ranger au fond de mon cerveau pour accomplir ma mission.

Commence petit, surtout si tu es timide : quand il y a une discussion en groupe pendant la pause, prends la parole au moins une fois. Ensuite, pose une question en classe. Et si un jour, tu dois faire un travail en groupe, porte-toi volontaire pour le présenter au reste de la classe.

Cet entraînement sera clairement désagréable au début, mais c’est le seul moyen de progresser. Il n’y a pas de secret !

Développer son expression à l’oral, c’est un véritable code de triche social : c’est utile 100 % du temps, ça fait toujours la différence et ça n’a aucun désavantage.


Prendre la parole, c’est prendre le pouvoir.

Le Bonheur ou la Victoire ? Les deux !

On me demande parfois, dans les commentaires ou dans les mails que je reçois, pourquoi je mets autant l’accent sur les solutions personnelles de développement pour ma communauté.

Ma réponse est simple : on ne sauvera pas notre civilisation avec des cohortes de gens malheureux, pauvres et dépossédés.

Quel est le rapport ? Que ce soit pour être heureux ou pour sauver l’Europe, il faut accumuler de la puissance, de la richesse et des relations.

Il ne faut surtout pas opposer la victoire politique et le succès personnel !

N’attendons pas l’arrivée d’un héros providentiel en nous tournant les pouces — travaillons sur nous-mêmes, chaque jour, pour construire notre forteresse en attendant la tempête.
Rédigé par

Thaïs d'Escufon

Courage & Fierté
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