À chaque nouvelle étape du combat féministe, les femmes menacent d’entamer la grève (du sexe, des tâches ménagères ou du travail) pour obtenir ce qu’elles veulent.
En général, elles n’ont pas besoin de mettre leurs menaces à exécution, puisque la société cède à leurs exigences.
En attendant, les hommes font une grève généralisée (progressive) depuis 60 ans : ils arrêtent de travailler, d’étudier, de fonder des familles, de séduire, de créer, de construire, de revendiquer…
Et on voit les résultats d’une société sans homme : c’est le retour à la société primitive.
Il serait peut-être temps de mettre un terme à la grève des hommes, quitte à risquer celle des femmes. Qu’est-ce qu’on a à perdre ?