Le match du siècle : féministes vs banlieues

C’est l’affrontement qu’on attend depuis des décennies. Le duel dont tout le monde a peur.
Et je crois savoir qui va gagner.
J’ai cette intuition depuis longtemps. Mais j’en ai le cœur net depuis que j’ai « vidéoscopé » (aux côtés de Stéphane Édouard) le reportage de Marie S’Infiltre dans les quartiers chauds.
Pendant 1 heure, elle va à la rencontre des habitants du « ter-ter » pour leur demander leur avis sur la condition féminine. Inutile de vous faire un tableau : les filles ne fréquentent pas de garçon pour ne pas passer pour des « putes », elles restent cloîtrées chez elles et elles sont exclues des lieux de vie du quartier (cafés, bar).



Quand on habite en république autonome de banlieue, les préoccupations écoféministes sont rares.
Dans la vidéo de Marie S’Infiltre, comme à chaque fois qu’une féministe parle de la banlieue, le message est complètement schizophrène : elle est scandalisée par la condition des femmes qui y vivent, mais elle ne peut pas aller trop loin dans la critique, afin de ne pas « stigmatiser ». Résultat, elle blâme vaguement le « patriarcat » mais sans aller plus loin.
Mais moi, je ne suis pas féministe… et c’est justement ce qui va me permettre de dire tout haut ce que Marie n’ose même pas penser tout bas : entre les banlieues et le féminisme, il faudra choisir. Quitte à choisir la 3e option.
Si vous n’êtes ni féministe ni banlieusard (bref, vous êtes un homme blanc), la 3e option est justement la vôtre.
Le féminisme blanc ? Les filles n’en veulent pas…
Le féminisme blanc n’est pas capable de convertir les banlieues, pour une raison simple : une grande partie des filles n’en veut pas.
Alors oui, peut-être que certaines filles issues de l’immigration et qui sont emprisonnées dans ces banlieues rêvent de plus de liberté, mais face au pouvoir des grands frères et à la désapprobation de leurs mères, elles seront impuissantes. Ou bien elles rentreront dans le rang, ou bien elles quitteront leur banlieue à la première occasion venue.
Surtout, les féministes trahissent leur incompréhension des cultures extra-européennes.
Elles sont tellement habituées à gémir sur le patriarcat occidental qu’elles ne voient pas que chez les Afro-maghrébins, on est certes patriarcal en public… mais à la maison, ce sont les femmes qui tiennent le foyer. Ce pseudo-matriarcat (ou pseudo-patriarcat) repose autant sur le pouvoir des pères que sur la participation des mères. Chez eux, le statut de mère offre une sécurité et un respect dont les filles sont dépourvues.
Dans ces conditions, les filles préfèrent participer à ce système plutôt que le réformer : c’est moins risqué.



Quand les wokes disent que le féminisme blanc est raciste contre les femmes racisé.e.s, ils n’ont peut-être pas tout à fait tort.
…et les garçons encore moins !
Pour les garçons des banlieues, c’est encore plus simple que pour les filles : il n’y a aucune raison de céder face aux exigences du Progrès. Qu’ont-ils à gagner, à donner l’indépendance économique, culturelle et familiale aux femmes de leur « clan » ? Évidemment rien.
Pour eux, le féminisme, c’est la promesse de perdre le contrôle sur leurs femmes et de devoir abandonner leur identité masculine. Ça a déjà été difficile à faire accepter aux Occidentaux, alors imaginez pour eux !
Les Occidentaux, ivres du progrès, persuadés de pouvoir faire table rase des traditions et fiévreux de tout réinventer, sont tombés dans le panneau. Mais eux, dont les parents viennent d’Algérie, de Turquie ou du Sénégal et dont les ancêtres n’ont pas connu la philosophie des Lumières (quoi qu’on en pense, ce n’est pas le sujet), est-ce que tout ça les concerne ? Bien sûr que non.
Ils regardent le mâle européen, féminisé, et ils le méprisent d’avoir fait preuve d’une telle faiblesse. Que les choses soient claires : il ne s’agit pas de donner des excuses au racisme antiblanc qui règne chez les jeunes générations de l’immigration. Même si les Européens étaient restés sûrs d’eux-mêmes et assertifs, les nouveaux arrivants nous détesteraient. Mais la féminisation de l’Européen est une circonstance aggravante qui n’arrange pas les choses.
Bref, le patriarcat de banlieue remporte son match contre le féminisme blanc par KO au 1er round.
« Un nouveau challenger apparaît »
Non seulement les féministes vont se casser les dents sur les populations du « tier-quar ». Mais il serait naïf de croire que la culture du pseudo-patriarcat immigré va rester sagement assis dans sa banlieue sans rien demander. Dans certaines villes, il est déjà quasiment impossible pour les filles de se balader en jupe. Et ça empire chaque jour.
Le problème, c’est que la défaite du féminisme met les Européens devant un dilemme impossible : soutenir le féminisme contre le changement de population ou se rallier à la virilité fantasmée des Afro-maghrébins pour terrasser le féminisme.
Les boomers patriotes saucisson-laïcité ont choisi la première option et les soraliens – il en reste encore ? – la deuxième. À chaque fois, les Européens (sans parler des Européennes) sont les grands perdants, d’une façon ou d’une autre.
Et si on choisissait la troisième option, la plus évidente, mais qui brille par son absence ? Celle qui permettrait de redonner leur place aux hommes sans pour autant tomber dans la cruauté envers les femmes ? Celle qui serait issue de notre génie propre et non pas de l’étranger ?
Vous l’avez compris, cette solution, c’est la résurrection du patriarcat européen, celui contre qui les féministes croient se battre depuis 2 siècles alors qu’il prend tous les coups sans riposter.



Il est temps de soigner cet « homme malade » : remettre l’homme européen à sa place, pour reprendre en main notre civilisation et la remettre sur le droit chemin. Lutter contre les délires déconstructeurs du féminisme et le malheur généralisé et en même temps contre la violence venue de l’étranger.
Conclusion — Face à une féministe, martelez-leur cette simple question
Le féminisme prend l’eau de toutes parts : d’un côté, les populations étrangères n’ont aucune envie de se convertir à cette bizarrerie de colonisateur. Et de l’autre, les jeunes hommes de souche commencent à ouvrir les yeux et à tenter de reconquérir leur masculinité, ce dont témoigne le succès explosif de quelqu’un comme Andrew Tate ou de toute la culture « mâle alpha » sur Internet (qui est critiquable mais qui part d’une bonne intuition).
Si on rajoute à ça le mouvement « tradwife » dans lequel une part grandissante des jeunes femmes de ma génération se reconnaît, on voit que même au sein de la gent féminine, l’« émancipation féminine » ne fait plus rêver.  À tel point qu’en Grande-Bretagne et aux États-Unis, 80 % des femmes refusent de se considérer comme féministes¹ !
Autant vous dire qu’à l’avenir, le choix à faire pour les femmes sera simple : patriarcat extra-européen ou patriarcat européen.
La seule chose à demander aux féministes, c’est l’option qu’elles préfèrent.
Et si elles vous répondent qu’il n’y a aucune différence entre les deux, ce sera l’occasion de riposter avec les arguments que je vous donnerai très prochainement dans un nouvel article.
Rédigé par

Thaïs d'Escufon

Courage & Fierté
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